Disons-le d’emblée : le développement culturel doit continuer. La transition écologique ne doit pas ouvrir la porte à ceux qui voudraient réduire l’offre pour nous transformer en simples consommateurs ou en zombis. En revanche, la croissance quantitative de la production et de la diffusion de la culture, gourmande en matière et en énergie, a ses limites.
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